You are seeing the paginated version of the page.
It was specially created to help search engines like Google to build the proper search index.

Click to load the full version of the page
En regardant le ciel bleu par la fenêtre
Je me retrouve allongée dans l’herbe verte En me perdant dans mes pensées infini,
Je me retrouvis sur les plages de Tahiti.
 
Quand assise à mon bureau je travaillais Je regardais près de mon crayon à papier Et je vis sur mon miroir une coccinelle Si belle que l’on aurait dit de la dentelle
 
Après avoir vu cette œuvre inattendue, j’ai découvert ce tableauet j’étais détendue
Mon esprit s’envolait très haut J’ai vu ma famille jouant du piano.
 
Quand arrive le moment d'ardeur, de travail
Le moment où je fais mon poème de français
Je me sens partir en de lourdes pensées
Voilà mon âme qui nage vaille que vaille
 
Ma mine se casse une énième fois,
je me retourne et dehors j’aperçois
Une colombe qui me contemple et qui s’en va avec ses ailes amples
 
Je me sens reparti
Dans cette rêverie
Celle qui, pendant les cours,
Me fait penser à ce jour.
 
Ce ciel si grand et obscur
D'un profond noir spatial
Illuminée par cette lumière
Et cet infini qu'est l'espace.
 
Dans ma tête, les mots résonnaient, seulement.
Je pensais aux moments de rêverie dansants,
Où les rires des enfants jouant dehors
Et le soleil m'emmenaient loin, encore.
 
Les touches noires et blanches du clavier
S'emmêlent et résonnent dans mon esprit
Mes pensées volent en toute liberté
Je m'imagine allant dans la prairie.
 
Je me sentis reparti Dans cette rêverie Celle qui, pendant les cours, Me fait penser à ce jour.