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Quand je joue du piano,
Parfois, je me surprends à rêver ;
Là, j'entends l'alouette chanter
Et je vois passer le corbeau
 
Quand je prends le bus pour rentrer,
Au bout d'une longue journée, Je pars dans de longues émois,
Si bien que je ris et je « verdoie ».
 
Roulant vers de beaux paysages,
Regardant danser les nuages ​​Je n'ouvre point la porte de l'ennui
Mais celle d'une rêverie infinie.